Le SIT est actif dans les secteurs de la vente et de l’alimentation à Genève. Il défend au quotidien les vendeuses et vendeurs ; négocie les conventions collectives de la vente à Genève et lutte contre la précarisation et la flexibilisation de ce secteur économique.
Le personnel de vente est confronté à des exigences toujours plus fortes de la part des employeurs. Ces derniers augmentent sans cesse le rythme de travail, exigent toujours plus de disponibilité de la part de leurs salarié-es et compriment l’emploi et les postes à plein temps.
Vous retrouverez ci-dessous les brochures et l’actualité du secteur.
Brochures et documentation
Vente et assistant-e en pharmacie, Quels sont vos droits 2017
Convention collective de travail 2013-2018
Pour connaître plus précisément ce qui s’applique à vos contrats de travail, vous pouvez contacter le SIT au 022 818 03 00, prendre rendez-vous avec un-e secrétaire syndical-e si vous êtes membre, ou passer lors des permanences organisées pour la vente tous les mardis et jeudis de 14h00 à 18h00, au 1er étage.
Le SIT et Unia ont gagné leur recours contre la tentative d’ouvrir les magasins le dimanche 22 décembre au mépris de la loi (LHOM) et de la volonté populaire.
Face au vide conventionnel et à la sous-enchère persistante dans le secteur du commerce de détail, un nouveau Contrat-type de travail obligatoire est édicté.
NON à la révision de la LHOM
Ne soyons pas dupes, refusons l’ouverture des dimanches sans réelle protection des salarié-e-s !
Le SIT appelle à voter OUI à l’initiative « Touche pas à mes dimanches », et OUI au contre-projet qui impose une CCT dans le secteur du commerce de détail.
Pour éviter un referendum, le parlement a modifié l’ordonnance de la loi sur le travail pour généraliser l’ouverture dominicale des commerces en Suisse. Pour contrer ce déni de démocratie, les syndicats ont lancé l’initiative « Touche pas à mes dimanches ! »
Le Sit dénonce une entreprise de sous-traitance massive et irresponsable
Travailler dans une station-service est, par essence, un métier difficile, peu rémunéré, qui implique des horaires très irréguliers (très tôt le matin, tard le soir et le dimanche) et qui est exposé à la criminalité. Chez Valora, ces difficultés se doublent d’un management irresponsable qui, pour assurer plus de profit aux actionnaires, pressurise les employés et les met sciemment en danger.